C’était l’époque de Leonard de Vinci et de Michel ange, une période où la créativité était à son apogée et le foisonnement intellectuel jamais égalé. C’était aussi le temps de Machiavel, de l’anarchie rampante, de guerre incessante, de dépravation indicible. L’Ordre mondial dépendait du Vatican, arbitre des conflits entre royaumes et empires. Au cœur du Vatican, un homme, avide de pouvoir, cherche à accéder à la plus haute place : le Saint siège de Rome. Le nom de cet homme deviendra synonyme de cruauté, et son pontificat restera un des chapitres les plus tristement célèbres de l’histoire de l’Eglise catholique : Rodrigo Borgia.
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